Manga addict'

«Je peux maintenant sortir de mon lit et me balader en chaise roulante. »

«Adieu fauteuil roulant, je peux maintenant utiliser des béquilles. »

«Je suis trop contente !! C’est bon un an s’est écroulé après cet accident de malheur je peux à nouveau marcher correctement. Pour ma sortie avec Edward on a fait plein de truc : ciné, balade en ville resto encore ciné et à la fin il m’a»

Il y avait une rature… Dommage, j’étais presque convaincu de ce qu’ils avaient fait mais j’aurai bien voulu avoir la preuve sous les yeux. Quoi ?! C’est vrai, je suis fouineuse et alors… Bien, alors j’ai continué :

«Entrée à la fac… »

«J’ai un admirateur secret … Je sais c’est pas la première fois mais… Là s’en ai vraiment un, il m’offre sans arrêt des fleurs et des trucs inutiles… Tous les garçons me font ça et Edward le plus souvent depuis ma sortie de l’hôpital. Je crois qu’il m’aime bien… Moi aussi d’ailleurs je l’aime bien »

«Il y avait une grande fête hier pour l’anniversaire de Marine. Tout le monde y était mais… Je crois bien que j’ai beaucoup bu ce soir-là et… Edward aussi. Je ne me souviens de rien, absolument rien… Ah si je me souviens d’un seul truc, c’est juste une image qui me revient : moi entraînant Edward dans une pièce je ne sais plus où… Mais après c’est le trou noir, le vide. »

«J’ai peur… Hier soir je n’ai pas arrêté de vomir et quand je suis allé à l’hôpital cet après-midi, j’ai tout raconté à un des médecins : le vide après cette image bizarre et il est revenu avec un sourire et il tenait les résultats de l’échographie qu’il m’avait fait passer. Et il m’a dit ce que je redoutais le plus… »

«Je ne sais pas quoi dire à mes parents, c’est vrai j’ai que 17 ans. Bien sûr pour le moment mon ventre est plat mais quand mon ventre se mettras à gonfler, je ne pourrais plus le cacher, j’en ai arlé à Marine, ma meilleure amie elle m’a dit qu’elle pouvait rester avec moi le temps que je le dise à ses parents… C’est bête à dire mais rien que ça présence m’a suffi à tout déballer sans avoir peur des représailles. »

«Mes parents ne m’en veulent pas trop. Maintenant faut l’avouer à Edward, ben ouais, il est aussi concerné que moi. Et quand je l’ai vu il avait l’air… Content. Alors je lui ait prononcé ses mots que je tournais et retournait dans ma bouche depuis déjà 3h… « Tu vas être papa » »

«C’est une fille ! J’ai jamais été aussi heureuse que quand je l’ai vu pour la première fois… Edward la regardais avec un sourire béat, ça m’a fait beaucoup rire ! »

«Notre fille allait avoir 1 ans aujourd’hui quand… Il est venu dans la cuisine une expression de tristesse sur le visage. Il m’a dit qu’il devait partir, à cause du travail. C’te foutu boulot d’alchimiste d’Etat… Je me souviens pas combien de temps j’ai pleuré ce soir-là. Ma pauvre Mélissa, qui ne comprenais rien et qui me regardais en me répétant « mama ? » »

«Il est mort… je l’ai entendu à la radio Edward a été retrouvé mort au milieu d’autre cadavre on dit que c'est dû à un éboulement… J’ai laissé tomber le vase que je tenais et je suis tombée à genoux en prenant la radio contre moi. Mélissa avait 2 ans dans 3 mois… »

Ce texte m’a foutue la chair de poule… Mais quand j’ai lu le dernier, j’ai senti comme une pression je ne sais pas où…

«ça y est c’est fini. Je vais faire passer mon suicide pour un accident et Alphonse gardera Mélissa. Je sais c’est égoïste mais c’est comme ça… »

Il n’y avait plus aucun texte… J’avais terminée et je me sentais coupable de m’être infiltré dans sa vie privée. Avant de le reposé, j’ai frôlé le carton, tout à la fin à côté de la dernière page et je n’ai pas pu m’empêcher de sourire. Et, sur le bureau éclairé par la lumière du jour, j’ai vu une cassette. Hein ?! Ben oui je l’ai pris, je l’ai même mis dans la télé pour la regarder. C’était les informations, le 20h TF1, ils racontaient un accident

« Winry Rockbell, une fille de 24 ans morte dans un accident de moto à été percuté violament par un camion et est tombée dans le précipice le plus proche. La brigade de police la retoruvée morte après 3h de recherche. »

J’ai vu la scène, à la télé enregistrée par le radar. Mon corps a été pris d’un soudain tremblement. La porte à grincée. C’était une gamine qui ressemblait beaucoup à celle qui était en haut des escaliers tout à l’heure. Non, c’était la gamine de tout à l’heure.

-C’est pas bien ce que vous faites… Me murmura-t-elle en me reprenant le cahier des mains.

-Mélissa ?

-Oui… Mélissa Elric, c’est moi qui vous suis appelé ce matin.

-alors pourquoi tu as dit à ton père que ce n’était pas toi et pourquoi tu as dit que tes deux parents étaient morts ?

-Alors pour commencer ce type en bas n’est pas mon père, mais mon oncle qui ce fait passer pour mon père. Ensuite, vous avez lu le journal de ma mère non ?

-Je… Oui, c’est vrai je l’ai lu…

-Donc, vous devez savoir que mon père est mort…

-Je vois, tu voudrais savoir comment ton père et mort c’est ça ?

-Non.

-Non ?

-non. Je sais comment il est mort, il s’est fait assassiné…

-Oooooh... Désolé, mais… Comment tu le sais ? C’est passé au info que c’était dû à un éboullement…

-J’ai sécher les cours pendant 9 mois et j’ai mené mon enquête mais ça on s’en fou… Je veux en savoir plus pour ce qui en ait de ma mère.

-tu as lu toi, le journal de ta mère ?

-Oui, dès que j’ai su lire je l’ai lu.

-tu as vu les infos le soir où ta mère est morte.

-Oui.

-Donc tu sais comment elle est morte.

-Oui, elle s’est suicidée, oh et madame si vous voulez bien ma mère voulait que ça passe pour un accident et je n’ai rien dit à personne alors…

-Entendu je ne dirais rien mais tu peux m’appeler Julie si tu veux. Et maintenant je voudrais savoir : pourquoi tu nous as appelés.

-Dès que j’ai lu son journal, j’ai su que ma mère pensais que plus rien ne la retiendrais ici, alors elle s’est suicidée mais…

-Oui ?

-Moi j’existe merde !! Elle à penser à ce que je serais sans mère et sans père avec un oncle qui n’arrive pas à avoir d’autre nana en tête que c’te folle qui à laisser sa propre fille ?

-Ton oncle… Aimait Winry ?

-Ouais…

Elle a souri car j’ai appelé sa mère par son prénom…

-Je cveux savoir… Est-ce qu’elle est partie sans aucun scrupule ou…Est-ce que…

-… Elle ne t’a pas laissé tomber…

-Hein ?

J’ai ouvert le journal à la dernière page et j’ai déchiré la couverture.

-Qu’est-ce que vous faites ?

-Regarde…

Sur le carton il y avait marqué :

« à ma fille Mélissa je sais qu’aucune excuse seront valable. Tonton Al s’occuperas bien de toi… Comme sa propre fille… Je le lui ai demandé, j’y veillerais personnellement et de très près car je serais toujours avec toi quoi qu’il arrive, ne l’oublie jamais comme le fait que je me sens coupable de t’avoir laissé. »

les larmes coula le long de ses joues.

-Je me rappelle, avoua t’elle, tous les savoir quand mon père est partit je demandais à ma mère : « il est où papa ? » et elle me répondait » je ne sais pas » « il reviendra bientôt ? » « Je l’espère ». Et un jour alors que je lui ait demandé « il est où papa ? » et ma sourit tristement et elle m’a murmuré : « Je crois bien que papa ne reviendra jamais… Demain on va le voir pour la dernière fois. »J’ai compris seulement quand je me suis retrouvé devant le cercueil de mon père. Et puis un jour tonton Al est arrivé et maman m’a dit : « ne m’attends pas pour t’endormir Ok ? » « tu vas où maman ? » « Quelque part où la vie est merveilleuse. » « je peux venir ? » « peut-être un jour, quand tu seras grande tu viendras nous rejoindre. Mais pas pour l’instant. »

Elle pleurait tellement que je n’arrivais presque pas à comprendre ce qu’elle me disait. Elle m’a dit qu’elle m’aimait bien et elle m’a remerciée. Avant de sortir de la chambre je lui ait posé la question qui me brûlait les lèvre :

-C’est toi qui joue du piano ?

-Oui, j’adore ça, je m’entraîne pour être pianiste depuis mes 4 ans…

On avait plus rien à faire ici alors on est partis… Avant de partir, juste dans le jardin j’ai entendu le piano, une belle mélodie qui était triste et déchirante. Bien sûr je n’ai rien dit à James de ce que j’avais découvert…Le lendemain, on a retrouvé Mélissa morte, étendue sur son piano. Elle s’était ouvert les poignets avec une lame de rasoir et le sang gouttait sur les touches.